Pendant toute la durée des Jeux Paralympiques de Paris 2024, nous vous
proposons, tous les jours une photo insolite, spectaculaire, étonnante,
incroyable...
Les
photos de sport sont parfois très exceptionnelles. Pendant ces jeux
paralympique, comme pour pour les Jeux Olympiques, infos-dijon,
creusot-infos et autun-infos, vous proposent tous les jours une photo
spécialement sélectionnée. Elles pourront être insolites,
spectaculaires, étonnantes, incroyables... En fait à vous d'en définir
la meilleure appréciation...
(Photos Agence REUTERS)
Dimanche 8 septembre
Il
peut avoir le sourire Tony Estranguet ! Le Président du COJO, le comité
d’organisation des jeux olympiques, mais aussi des jeux paralympiques,
de Paris 2024, a été ovationné à l’occasion de la cérémonie de clôture
qui s’est déroulée au Stade de France. Il peut oui être heureux de cette
juste récompense populaire. Mais il peut aussi avoir le sourire, car
les Jeux Paralympiques, dans le sillage des Jeux Olympiques, ont été une
exceptionnelle réussite. Et il ne faut pas avoir la mémoire courte. Car
pendant des années, Tony Estanguet a dû répondre aux attaques
incessantes contre les J.O. contre son salaire – alors que ce n’est pas
lui qui l’avait fixé -, contre tout en fait. Alors BRAVO et MERCI
Monsieur Estanguet. Et si on vous propose d’être le Président du COJO
des Jeux d’hiver des Alpes en 2030, dites «oui» !
A.B. (Photo Stephanie Lecocq Agence REUTERS)
Samedi 7 septembre
Alors
elle était si difficile que cela cette épreuve d'équitation ? C'est un
peu le sentiment que l'on peut avoir avec cet instantané montrant ce
cheval tirant la langue à l'heure des récompenses, après une épreuve...
(Photo Jeremy Lee Agence REUTERS)
Vendredi 6 septembre
Les
Jeux Paralympiques, comme les Jeux Olympiques, ce sont des émotions
XXXL. Des émotions qui sont celles de la vie... Des émotions qui sont si
fortes que l'amour ne peut pas être caché. Et qu'est-ce qui est le plus
fort pour une ou un athlète ? Une médaille ou des preuves d'amour ?
(PhotoThomas Mukoya Agence Reuters)
Jeudi 5 septembre
On
peut être aveugle et pratiquer un sport collectif. On est ici aux
frontières de plusieurs sports. Mais ce qui compte le plus, ce sont les
sensations éprouvées, le bonheur qui vient après le commentaire ou le
bruit. Ou la déception. Les deux ce ce sont surtout les autres qui les
voient. Mais ce qui est le plus important, c'est ce qui est vécu... Des
plaisirs minuscules pourrait on écrire. Mais ils sont si grands ! (Photo
/Kacper Pempel Agence REUTERS)
Mercredi 4 septembre
On
ne sait pas quelle a été la performance de cet athlète. Mais ce que
l'on sait et que l'on devine facilement sur son visage, c'est qu'il est
heureux. Il est handicapé et le sport lui a ouvert une porte sur la vie.
Celle du sport et celle des émotions partagées. Tout simplement. Quand
d'autres se plaignent d'un rien, lui il est heureux. Et ça fait du bien.
(Photo Umit Bektas Agence REUTERS)
Mardi 3 septembre
On
pourrait tomber dans la caricature et expliquer cet athlète américain
ne manque pas de ressort... Ca c'est pour la première observation de
cette photo prise au saut à la hauteur. Oui mais voilà, il faut
obligatoirement la tête et les jambes. En effet, alors qu'il est en
train de passer la barre, il faut aussi qu'il soit capable de tenir et
donc maîtriser sa jambe de fer. Et mine de rien il faut beaucoup de
dextérité ! (Photo Agence REUTERS Carlos Garcia Rawlins)
Lundi 2 septembre
On
parle souvent de l’instinct de survie. Cet athlète australien effectue
une autre démonstration. Celle de la rage de participer. Quand nous
écrivons rage, c’est bien pour souligner toute la volonté qu’il met dans
sa partie, qui s’apparente à la pétanque en salle. Lui, c’est avec la
bouche et les dents qu’il participe en rêvant d’une médaille (Photo
AGENCE REUTERS Eng Chin An)
Dimanche 1er septembre
Il
n’y a pas qu’en Formule 1 ou dans les sports mécaniques, que la
technologie et l’intelligence de l’homme font évoluer le sport. Ainsi
les personnes qui ont perdu une ou deux jambes peuvent courir sur la
piste et établir de vraies performances. Elles ne sont pas exclusivement
le fruit de la technologie, mais aussi d’une somme impressionnantes
d’heures et d’heures d’entraînement. (Photo Thomas Mukoya Agence
REUTERS)
Samedi 31 août
Savoir
accepter son handicape et ses différences, c'est aussi ce qui fait la
force des athlètes qui prennent part aux Jeux Paralympiques.
Démonstration en est faite avec ce naguer. (Photo Agence REUTERS)
Vendredi 30 août
Quelle
force mentale il faut avoir pour affronter l'eau et lutter contre le
chrono sans bras. Et pourtant elles et ils sont des dizaines à se lancer
ainsi dans le bain des efforts et du courage (Photo Joel Marklund)
Jeudi 29 août
Penser
à autre chose et surtout ne pas penser qu'à son handicap. Cet athlète a
ainsi la tête au basket, ce qui lui permet de vivre une aventure
paralympique. Il a la tête au basket, au propre, comme au figuré,
pourrait-on dire... Mais surtout, il s'accomplit dans et par le sport;
Et ça change tout ! (Photo REUTERS / Carlos Garcia)
Mercredi 28 août
L'obélisque
de la Place de la Concorde à Paris, a un peu la forme d'un crayon. Et
en ce mercredi 28 août 2024n pour la cérémonie d'ouverture des Jeux
Paralympiques, il pouvait donner l'impression d'avoir été utilisé pour
tracer des lignes de couleur, dans le ciel, derrière les avions de la
Patrouille de France... (Photo REUTERS / Pawel Kopczynski)