Tout en se refusant de donner des consignes de vote, l'adhérent des Républicains renvoie dos à dos les candidates du Rassemblement national et du Nouveau Front populaire.
Communiqué de François-Xavier Dugourd du 1er juillet 2024 :Le premier tour de ces élections a rendu son verdict. Les Français ont placé en tête au plan national le RN et le Nouveau Front populaire.
Dans notre circonscription, malgré une progression en voix depuis 2022, je ne pourrai pas participer au second tour. J'en prends acte.
En menant ce combat dans le contexte politique dans lequel nous sommes, et avec un débat national volontairement réduit au tripartisme, je savais que ce ne serait pas facile. Mais il me semblait important de porter les valeurs d'une droite républicaine, indépendante, de fermeté, de liberté et de responsabilité.
Je tiens à remercier chaleureusement tous les électeurs qui ont voté pour moi, ma suppléante Catherine Renosi, mon équipe et tous les soutiens qui se sont mobilisés derrière notre candidature.
Depuis mon engagement en politique, je n'ai jamais donné de consignes de vote car je ne me considère pas propriétaire des voix qui se sont portées sur moi. Les électeurs de la circonscription se prononceront en conscience.
A titre personnel, je suis Républicain et je n'ai jamais transigé avec les extrêmes et les populistes. Je ne me reconnais pas dans l'alliance de gauche avec Jean-Luc Melenchon, aux relents d'antisémitisme et pariant sur la démolition de nos Institutions. Je ne me reconnais pas non plus dans le programme démagogique et mouvant du Rassemblement National qui risque de conduire la France dans le chaos et l'appauvrissement.
Désormais, je vais m'attacher à participer à l’indispensable travail de refondation de la droite républicaine afin de proposer aux Français pour les prochaines échéances un projet économique, social et sociétal adapté à leurs attentes et faire émerger un leader national permettant de porter ce projet....
FX Dugourd
La dissolution de l’Assemblée Nationale fait incontestablement tourner
les têtes. «Ils sont devenus fous», assènent nos concitoyens.
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