«Ces débats doivent aboutir à consacrer un droit à mourir dans la dignité et dans le respect des convictions de chacun», estiment les militants côte-d'oriens du Parti radical.
Communiqué de la fédération de la Côte-d'Or du Parti radical du 7 novembre 2024 :Depuis la création en 1980 de l’association du droit de mourir dans la dignité par le Radical Pierre SIMON, nos parlementaires se sont toujours mobilisés pour que chaque personne soit respectée dans ses convictions sur sa propre fin de vie.
L’annonce faite par sa Présidente par interim Nathalie DELATTRE, Ministre déléguée chargée des relations avec le Parlement, de la reprise des débats sur la fin de vie et de leur inscription à l’ordre du jour de l’Assemblée nationale le 27 janvier prochain est une étape majeure pour y parvenir.
"Ces débats doivent aboutir à consacrer un droit à mourir dans la dignité et dans le respect des convictions de chacun. Nous n’y parviendrons pas sans garantir l’accès aux soins palliatifs dont le développement partout en France doit être notre priorité." déclare Jean-Philippe MOREL, président du Parti Radical 21.
"Et parce que certaines souffrances physiques et psychiques sont insupportables et incurables, notre devoir est aussi d’accompagner ceux qui le souhaitent dans leur fin de vie, toujours dans le respect de leur liberté de conscience et dans un cadre légal qui les protège», ajoute Maxime MOULAZADEH, Secrétaire général du Parti Radical 21.