Le Parisien explique que, depuis la mi-janvier, des agents de la police de l’environnement, chargés de faire respecter les règles en matière d’usage des pesticides, d’arrachage de haies, mais aussi de contrôler les chasseurs, de lutter contre le braconnage ou le trafic d’espèces protégées, ont déjà engagé leur droit de retrait dans les exploitations agricoles, ne s’y sentant plus en sécurité.