Le Parisien relate que, en pleine bataille parlementaire avec l’opposition, le président sud-coréen conservateur Yoon Suk-yeol a décrété la loi martiale, ce mardi 3 décembre, afin de contrer, selon ses dires, des «forces communistes nord-coréennes».
Actualisé : Le Parlement a toutefois rapidement demandé sa levée, effective après quelques heures.